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RDCongo. Urusaku rw'imbunda i Kinshasa: Televiziyo y'igihugu , ikibuga cy'indege cya Ndjili, na Etamajoro ya Gisirikare byatewe

Au centre, une vue  actuelle  du tour administratif de la radio télévision nationale congolaise (RTNC), situé dans la commune de Lingwala, à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
 Kinshasa uyu munsi yabyukiye ku kintu kimeze nka Filimu zo muri Hollywood.Abasore bitwaje imbunda n'intwaro za gakondo bigabije Radiyo Televiziyo y'igihugu maze bafata bugwate abanyamakuru bayikoraho. Ninako kandi bavugaga ko na Lubumbashi yafashwe, umukuru wabo Pasiteri Mukungubila Paul ubu ariwe uyobora igihugu. Aba basore bagera ngo kuri 30, kandi ngo bari bambaye ibintu bimeze nk'ibiheko.

Ingabo za leta ngo zaje guhangana n'abo basore ariko ngo no ku kibuga cy'indege cya Ndjili naho ngo hariho havugwa amasasu i sa mbili n'igice za mugitondo, bikaba bivugwa ko abantu bagera kuri 20 aribo bateye kuri icyo kibuga. Undi mubare utaramenyekana ngo waba wateye ku biro bikuru bya Gisirikare( eta majoro).
 ubu i Kinshasa abantu bakwiye imishwaro kandi icyoba ni cyose. No mu yindi mijyi mikuru kandi nka Kisangani  naho ngo abantu bahiye ubwoba ku buryo ubu n'amatagisi yahagaze gukora.

Ibi byose biriho biraba mu gihe ingabo za Leta ya RDCongo na MONUSCO zihanganye mu buregerazuba bwa RDCongo na M23 ifatanyije  n'ingabo za Museveni wa Uganda bakaba biyita ko ari inyeshyamba za Uganda ADF/NALU zimaze imyaka muri aka karere. Ariko abasirikare ba Uganda baherutse kugwa kuri urwo rugamba harimo n'umukoloneli, ni ikimenyetso simusiga ko ingabo za Uganda zifatanyije na M23 mu kurwanya MONUSCO n'ingabo za RDCongo.

Ikindi twabibutsa ni uko Kagame yanze gukora nka Museveni uruma agahuha. Muri ya masezerano Leta ya RDCongo na M23 baheruka gushyiraho umukono, amahanga na RDCongo bakabyina intsinzi ari nako bashimira uwiyitaga umuhuza MUSEVENI, Kagame we yanze kubeshya amahanga yanga kujya mu isinya ry'ayamasezerano kuko yari azi ikigiye gukurikiraho.  Kagame na Museveni bazi ko amahoro ya RDCongo atabaha umukiro ndetse n'umutekano. 

Iyi akaba ariyo mpamvu abanyarwanda benshi najye ndimo bemeza ko amahoro y'akarere k'ibiyaga bigari by'Afrika azaturuka mu isimbakazwa rya demokarasi isesuye aba bicanyi babiri: Kagame na Museveni  badakozwa.  Niba rero amahanga adahagurutse mu maguru mashya ngo afatanye n'abaturage ba RDCongo, Rwanda, na Uganda kwirukana aba banyagitugu b'abicanyi ngo basange Charles Taylor, amaraso aracyemeneka mu karere.


kanda aha hasi wumve uko Umuvugizi wa Leta ya RDCongo Lambert Mende avuga uko byagenze

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=jk4dFaBwd3U



NKUSI Joseph
shikamaye.blogspot.no




soma izindi nkuru zijyanye n'iyi hasi aha:


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Crépitement des balles à Kinshasa: l’aéroport de Ndjili attaqué et la RTNC

 occupée par les hommes du pasteur Paul Mukungubila



Au centre, une vue  actuelle  du tour administratif de la radio télévision nationale congolaise (RTNC), situé dans la commune de Lingwala, à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

(KINSHASA)-  Des tirs ont retenti le matin vers 8h00 aux alentours de la radiotélévision nationale congolaise, indique des témoins. Ces derniers n’ont pas été en mesure de dire avec exactitude les auteurs de cette attaque parce qu’eux-mêmes se précipitaient  pour quitter les abords de la cité de la voix du peuple. Il y a des tirs qui résonnent à l’intérieur du bâtiment, a ajouté un autre habitant du coin. Selon d’autres informations, une jeep aurait franchi la première barrière sans s’arrêter et ensuite la deuxième poussant les éléments de la garde républicaine commis à la sécurité de la Rtnc à ouvrir le feu mais la réplique des assaillants a été immédiate. Les deux camps se sont échangés de tirs jusqu’à ce que les programmes de la télévision nationale aient été interrompus brutalement. 8h20, un carton flottant sur l’écran apparait avec mention ‘‘ Rtnc, l’église au milieu du village’’. Dix minutes après, des bruits sont entendus sur l’antenne et puis les images apparaissent avec les deux animateurs de la matinale qui sont pris en otage par des assaillants. Ils ordonnent à Jessy Kabasele  et Lolita Kaya de citer le nom du pasteur Mukungubila-le nouveau chef du pays parce que le pouvoir est désormais entre ses mains. Pendant plus de cinq minutes, un jeune homme polo bleu presque déchiqueté demande aux animateurs de dire Dieu de Mukungubila. Tozui Rtnc, tozui Rtnc, disait un autre dont l’image n’était pas visible à l’écran. ‘‘C’est la libération, c’est la libération, on a pris aussi Lubumbashi’’, déclarait leur meneur. Le seul assaillant visible à l’écran a sommé aux animateurs d’ajouter que Mukungubila, c’est le roi de ce pays. La pauvre journaliste Lolita reprend deux fois ‘‘ Mukungubila, c’est le roi de ce pays’’.  Ensuite, ils leur demandent de lire le message sinon ils subiront le sort des militaires qui ont été tué dehors. ‘‘Mais où est le message qu’on doit lire mais on dit quoi’’, insistaient les deux animateurs. Ces miliciens en tenue presque des féticheurs n’avaient que de petits bâtons qu’ils brandissaient comme fusils et des tuyaux comme mortier. La scène a duré plus de cinq minutes à la télévision nationale sous les regards impuissants de téléspectateurs médusés.  ‘‘Oh mon Dieu, ils ont pris la Rtnc, c’est triste’’, criait une maman à Lingwala. Des renforts en hommes sont venus autour de la cité de la télévision nationale mais les assaillants assimilables aux bakata katanga se trouvent jusqu’en ce moment à l’intérieur du bâtiment. Ses assaillants seraient près d’une trentaine, indique un technicien de la voix du peuple qui les a vus entrer. D’autres agents de la Rtnc ne s’expliqueraient pas que cette attaque ait eu lieu au moment où beaucoup de militaires de la garde républicaine commis à la sécurité de la télévision nationale étaient à la parade. A la primature-cabinet du premier ministre, tous les agents y compris les journalistes venus couvrir matinalement une activité du premier ministre sont terrés en ce moment. On nous a demandé de ne pas bouger pour des raisons sécuritaires, a affirmé un reporter d’une télévision locale. A l’aéroprt international de Ndjili, une autre attaque a été menée par la même milice où on signale des affrontemenst violents. A la veillée de la nouvelle année, Kinshasa connait  une panique et une débandade généralisée. Boutiques et commerces ont vite fermé. La situation n’est pas bonne, j’ai libéré mes agents parce que tout le monde veut se mettre à l’abri, nous a dit un indopakistanais responsable d’un grand magasin au centre ville de Kinshasa. Les bus de Transco bondés du monde sont rentrés vite à Kingasani à leur siège dans la partie Est de la capitale- les activités dans la capitale sont paralysées.
Rédaction 7sur7
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30/12/2013 à 10:31
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Le siège de la RTNC.Le siège de la RTNC. © AFP
La situation était confuse ce matin à Kinshasa. Des journalistes de la Radio-télévision nationale congolaise (RTNC) ont été pris en otages par des jeunes armés, la police s'étant déployée pour les déloger, a-t-on appris de source policière. Des coups de feu ont également été entendus à l'aéroport de Ndjili.
Mis à jour à 11h29.
La panique a saisi Kinshasa, lundi 30 décembre au matin, alors que des jeunes armés ont pris d'assaut le siège de la télévision nationale congolaise, prenant plusieurs personnes en otages. "Ce sont des gens armés avec des machettes et des armes, ils ont pris en otage des journalistes. Une opération est en cours pour les déloger. Ils ont déjà été cernés", a déclaré à l'AFP le colonel Mwana Mputu, en charge de la communication de la police.
Le signal de la RTNC a été coupé peu après la prise d'otages. Avant la coupure, les images montraient les deux jeunes présentateurs de l'émission en cours, Le Panier, assis, effrayés mais calmes, avec derrière eux un jeune homme menaçant. Des coups de feu ont retenti, sans que l'on puisse les attribuer à la police ou aux assaillants. Selon certaines sources, notamment l'ambassadeur de RDC en Belgique, cité par la RTBF, les jeunes armés seraient des hommes d'un certain Pasteur Mukungubila, "un illuminé qui venait de se proclamer président d'Afrique."
"Il n'y a pas de circulation, plus de véhicules (...) C'est la panique dans la ville, les gens se demandent ce qui se passe", a déclaré à l'AFP un jeune homme dans la zone. "Il y a des policiers, des militaires et des gardes républicains un peu partout près de la RTNC et du Palais du peuple, siège du parlement congolais, juste à côté de la télévision publique", a-t-il ajouté.
Des tirs à Bokolo et à l'aéroport de Ndjili
Selon les dernières informations, la police aurait cependant repris le contrôle de la situation et le signal de la télévision nationale aurait été rétabli.  "C'est nous qui avons coupé le signal RTNC1, nous allons le remettre. La situation est désormais sous contrôle", ainsi déclaré Lambert Mende, ministre de la Communication. Plusieurs habitants ont également affirmé que les tirs à l'arme légère ont cessé assez rapidement du côté de la RTNC.
Cependant, entre 9 heures et 9h30 (8h30 GMT), une journaliste et un chauffeur de taxi ont évoqué plusieurs tirs d'arme lourde, localisés vers le camp Tshatshi, à une dizaine de kilomètres de la RTNC et du Palais du peuple. Enfin, des tirs auraient été entendus dans un autre camp, Kokolo, ainsi qu'à l'aéroport de Ndjili, désormais fermé et où "des tirs ont éclaté", selon le responsable des douanes, cité par Reuters. "Ils ouvrent le feu partout, nous nous cachons tous", a-t-il témoigné.
(Avec AFP)

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Muvandimwe, nshuti ya SHIKAMA, turagushimira cyane umuganda utanga wo kubaka URWANDA rushya ubinyujije mu bitekerezo byawe( Komanteri). Kugirango turwanye urukungu rw'Agatsiko ni ngombwa ko buri komanteri ibanza gusuzumwa. Yohereze, irahita ijya ku rubuga mu minota mike niba idatandukira( kuvuga ibitajyanye n'inyandiko), itukana, cyangwa yuzuyemo uburere buke.

Wipfusha komanteri yawe ubusa ukoresha "ANONYMOUS", himba izina urikomeze kuko hari ibihembo mu Kuboza 2016 ku bantu 3 bazaba babaye indashyikirwa mu gutanga ibitekerezo. Dukomeje kubashimira ubwitange n'umurava muhorana. IMANA Y'I RWANDA ihorane namwe iminsi yose.

Dg NKUSI Yozefu
www.shikamaye.blogspot.com
Uharanire ko Ukuri gusimbura ikinyoma.
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